Articles de fond

Le sensible et l’enfant

Les enfants d’aujourd’hui grandissent dans une société où le corps doit répondre quotidiennement à des exigences et des rythmes qui valorisent sa fonctionnalité et son esthétique mais ne prêtent aucune attention à sa sensibilité. Derrière l’écran des promesses commerciales de retrouver calme, lenteur et sensorialité dans les spas, hôtels de luxe et magazines, la recherche en éducation étudie très peu (en tout cas en France) le corps vécu, perçu et ses infinies potentialités.

Le corps sensible comme source de motivation

Le corps dont il s’agit ici est le corps sensible au sens d’un corps caisse de résonance de l’expérience perceptive, affective et cognitive qu’un sujet éprouve lorsqu’il entre en rapport de présence à lui-même. « La sensibilité désigne cette propriété de tout tissu vivant d’être réactif et signe l’appartenance du vivant au monde qui l’entoure.

La relation à soi et à autrui

L’homme ne peut être envisagé comme exemplaire d’une généralité et chaque événement qui le traverse possède un caractère unique.

La science, l’art et la subjectivité

Les nouvelles approches de recherche qui essayent de prendre en compte la dimension subjective obligent à réinterroger la posture du chercheur sur la base de l’implication et de l’expérience.

Le toucher de relation

Cet article vise à introduire une approche somato-psychique dans la relation d’aide au patient. Nous voyons apparaître depuis quelques années une mutation des mentalités concernant la vision du soin. L’idée du soin a longuement été résumée à « faire un soin » ou à « apporter un soin » ciblé sur une pathologie.